Une autre réalité du Népal : les femmes-esclaves

La photoreporter Lizzie Sadin a assisté pendant 4 mois au cauchemar quotidien subi par près de 20 000 jeunes filles dans les boîtes de Katmandou. Ce travail, qui lui a valu le prix Carmignac 2017 du photojournalisme, est exposé à Paris jusqu’au 12 novembre. Retour sur les images les plus marquantes en compagnie de leur auteure.

 

Les couleurs sont chatoyantes, mais la fête n’est jamais au rendez-vous. La centaine d’images qu’expose Lizzie Sadin, 60 ans, vous prennent à l’estomac : les unes après les autres, elles dressent le désespérant tableau de la situation qui frappe de plus en plus de jeunes Népalaises. Viols, abus, exploitation, esclavage, il ne fait pas bon être pauvre et femme au Népal. D’après les ONG, 20 000 d’entre elles seraient exploitées dans l’industrie du sexe ; et 300 000 contraintes à des « emplois » de bonnes à (vraiment) tout faire dans les pays du Golfe.

 

Pour lire la suite, suivez le lien :

http://nepalplus.com/french/archives/2880

 

Et pour d’autres lectures:

http://www.lci.fr/international/urmila-esclave-domestique-au-nepal-mon-passe-cest-ma-force-1533449.html

http://geopolis.francetvinfo.fr/les-filles-esclaves-du-nepal-29203

http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20140122.AFP8171/nepal-pas-de-justice-pour-les-filles-esclaves.html

A suivre : Etre femme au Népal

Et juste pour info, pendant que j’écris ces quelques lignes, j’écoute « Kumari devi » de Sagarmatha…

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